Les Vitraux de Chartres

La cathédrale de Chartres détient en son sein les plus beaux vitraux romans qui soient.
Depuis leur récente restauration, nous avons choisi de faire une sélection des 16 plus belles verrières de Chartres et de vous les faire découvrir de très près, avec leurs éléments les plus intéressants.
A moins de 100km, au sud-ouest de Paris, la cathédrale de Chartres est une des églises les plus célèbres de France. Classé au patrimoine mondiale de l’Unesco, cet édifice religieux est le seul qui a conservée presque intacte toutes ses sculptures et tous ses vitraux du Moyen-âge. Mais ce chef-d’oeuvre architectural ne doit pas nous faire oublier les vitraux qui constituent les oeuvres d’art les plus regardées de la cathédrale. Leur superficie n’a pas d’équivalent dans aucun autre édifice religieux. Plus de 170 verrières totalisent 2600 m² de surface vitrée. 16 verrières nous serviront de support. Ce choix combine les plus grandes articulations thématiques de la cathédrale et les plus belles verrières que l’histoire a érigée en chef-d’oeuvre. La vierge Marie, le Christ, la place de l’homme dans la création seront privilégiés.

15 minutes sont consacrées à une présentation architecturale de l’édifice. Tant extérieur qu’intérieur.
60 minutes sont consacrées à l’exposé des plus belles verrières depuis leur récente restauration.

– Les 3 fenêtres hautes de l’abside
– Le triptyque de la façade occidentale
– Verrière de L’arbre de Jessé
– Verrière de La vie du Christ
– Verrière de La passion
– Verrière de Notre Dame de la belle verrière
– Verrière de Glorification de la vierge
– Verrière de L’histoire de Noé
– Verrière de La Passion typologique

– Verrière du bon Samaritain
– Verrière des apôtres
– Verrière de Saint Rémi
– Verrière de Charlemagne
– Baie de Saint Apollinaire
– Rose occidentale du jugement
– Rose Sud de l’apocalypse
– Rose Nord de la gloire de la vierge

L’ancienne cathédrale Romane
Incendie de la basilique Romane initiale de Chartres

La presque totalité de l’édifice actuel date du 1er quart du 13ème siècle. Sous l’impulsion de l’évêque Renaud de Mouçon et des nombreux chanoines, 25 années suffirent pour la réalisation du gros œuvre et pour que les chanoines puissent prendre possession de leur stalles en 1221.
Cette rapidité du chantier s’explique par la réutilisation de la façade occidentale et par le remploie des murs de la crypte romane qui ont constitués la plus grande partie des fondations.

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